EN VOUS SOUHAITANT UNE BONNE ANNÉE
Les vers qui suivent n’ont plus leur raison d’être, tant le maréchal Foch a précipité la fin de la guerre tant il a victorieusement rapproché les perspectives du désarmement universel.
Cependant, « LES AILES QUI MONTENT » ont entrevu la réalisation, sans doute lointaine encore mais probable, d’un rêve de paix durable entre civilisés.
À ce titre, l’idée restera longtemps dans l’actualité des préoccupations humaines.
À ce titre je l’offre à mes amis, en les priant de l’agréer à l’égal d’un souhait, exprimé pour que l’année 1919 leur soit légère, pour que la résurrection du calme leur soit douce et riante, pour que les seules émotions à venir soient joyeuses.
Je formule mon vœu dans cet esprit, je le prolonge au delà de la salutation traditionnelle : « Bonne et heureuse année, bonne et heureuse Paix ! »
102, Avenue Russell,