Page:Trembley - Mémoires pour l'hisoire des polypes.djvu/13

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rer ceux qui y sont déjà. Cette Vignette-ci, & celle qui est au commencement du premier Mémoire, représentent chacune un bout du même Vivier.

On voit, dans la Vignette du quatriéme Mémoire, un Homme debout devant une table, occupé à faire l’opération la plus difficile dont il soit parlé dans ce Mémoire[1]. Il retourne un Polype. Sa main gauche est ouverte, & il retourne le Polype qui est sur le bord, avec une soie de sanglier qu’il tient dans la droite. Le soleil, qui entre dans la chambre par la fenêtre qui est à la droite de cet Homme, donne sur le Polype, & le rend plus distinct pour celui qui fait l’opération, & pour celui qui considére ce Polype avec le secours d’une loupe. On a tâché de représenter, dans les deux grands poudriers placés sur la tablette de la fenêtre qui est entiérement ouverte, des groupes de Polypes, tels que celui qui est de grandeur naturelle dans la Planche IX. Il y a, d’un côté du poudrier qui occupe le milieu de cette tablette, un verre enfermé dans l’Étui de carton, dont il est parlé à la fin du premier. Mémoire[2]. On voit assés distinctement l’ouverture, faite en forme de chevron, qui est à un des côtés de cet Étui. C’est auprès de cette Ouverture que se ren-

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  2. Pag. 66.