Page:Tristan L’Hermite - Les Amours de Tristan, 1638.djvu/13

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

ne ſuis plus dans l’humeur de tirer aucune gloire de l’eſtime qu’on fait de mes erreurs ; auſſi ne me piquay-ie guerre des deffauts qu’on y remarque. Apres tout, quelle honte y a-t’il de n’exceller pas a bien eſcrire ſur des matieres ou l’on ne peut reüſſir raiſonnablement, ſans faire pareſtre qu’on a perdu la raiſon ?