Cette dernière ordonnance fait voir qu’à cette époque, 1744, la forêt vierge existait encore en partie auprès de l’église dans le Trait-Carré.
Il ordonna de plus : « Le banc des chantres sera diminué de deux pieds environ, rapproché auprès des bancs, la largeur ne sera pas plus grande que la largeur de l’allée du milieu pour faciliter le passage de la communion, et, comme il nous a paru trop haut, ce qui peut empêcher les habitants de voir clairement à l’autel, avons ordonné qu’il sera diminué d’environ deux pieds et demi. »
Puisque nous en sommes à parler des ordonnances de Mgr de Pontbriand, nous dirons de suite ici que, plus tard, le 14 juillet 1755, pendant que M. Morisseaux était curé, il ordonna d’indiquer dans les actes de mariage « la demeure au moins des quatre témoins principaux. Et même dans les actes de sépulture, de baptême, lorsqu’on ne fera que suppléer les cérémonies du baptême, il faut marquer le jour de la naissance et de l’ondoyement, et dans les actes de baptême, si le père est présent ou absent, et même de tâcher d’avoir d’autres témoins que les parrains et marraines. »