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xiv
préface

par la nature. J’ai tâché néanmoins d’adoucir les nuances du caractère peint dans la comédie, en faisant d’un libertin un ambitieux, cette passion n’étant nullement incompatible avec l’abandon de la morale et le mépris des liens les plus sacrés.

Il existe un point seulement sur lequel je désire appeler l’indulgence de mes lecteurs : cet ouvrage, écrit en anglais par un Espagnol, doit porter les traces de son origine étrangère ; il s’y trouve sans doute des fautes de