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gómez arias.

CHAPITRE II.


D’une secrète horreur je me sens frissonner ;
Je crains malgré moi-même un malheur que j’ignore.
Je crains malgré moi-même un malheurRacine.

Señor Gómez Arias
Duelete de mi,
Que soy niña y sola
Nunca en tal me vi.

Nunca en tal me viCalderon.


C’était une magnifique soirée d’été. Le soleil descendait lentement derrière les montagnes immenses des Alpujarras, dont les ombres gigantesques et fantastiques s’étendaient graduellement le long des plaines qui se trouvaient à leurs pieds. Aucun bruit ne troublait