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Page:Trueba y Cosío - Gómez Arias, Tome 3, 1829.djvu/11

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GÓMEZ ARIAS,
ou
LES MAURES DES ALPUJARRAS.

CHAPITRE PREMIER.


Sierpes apacienta el pecho
De una muger ofendida.

Moreto.

Ah taci ! ogni parola
Mi drizza i crini ; assai dicesti ; basta
Basta cosi, non proseguir.

Monti.

Roque se hâta de quitter le jardin ; car, quoique le pauvre garçon désirât vivement de rendre quelque service à Theodora, il ne se sentait pas disposé à encourir pour cela le mécontentement