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Page:Trueba y Cosío - Gómez Arias, Tome 3, 1829.djvu/224

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gómez arias.

rester dans leurs foyers, mais l’espérance marche en avant et ses illusions brillantes embellissent l’anxiété. Le soldat dit un adieu gai et insouciant à ceux qu’il est peut-être condamné à ne jamais revoir ; et les tendres larmes qui lui répondent seront peut-être versées par une douleur amère.

fin du tome troisième