Page:Twain - Le prince et le pauvre, trad Largilière, 1883.djvu/137

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eut l’air de réfléchir un moment, puis il demanda tout innocemment :

— Dites-moi donc, mylord, comment c’est fait un grand sceau.

Le comte eut un geste de désappointement presque imperceptible.

— Hélas ! se dit-il, voilà sa folie qui revient ! Il est inutile d’insister.

Puis il changea de conversation, tâchant habilement de faire oublier à Tom la question du grand sceau et ne s’imaginant certainement point qu’au fond Tom ne demandait pas mieux.