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Page:Uhland - Poésies choisies, 1895, trad. Pottier de Cyprey.djvu/134

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POÉSIES CHOISIES


L’ATTAQUE DE WILDBAD

Par un beau jour d’été, alors.que sou Ment tes vents tièdes, (~e tes forêts charmt’nt lu vue par leur verdure, et que les jardins sont en Heurs, un chevalier de ncre allure sortit par les portes dp Stuttgard c’était ic comte Everard (le <h’ein, h’ vieittard a ta longue barbe’.

Suivi d’un petit nombre d’~cuyers, il s’en va dans la campagne; it ne porte ni heaume ni cotte de matHes, car il ne sa~it pa~d’un combat aangtant; il veut aUcr Wihibad, où jaiUitune source d’eau cttaudc qui guérit et fortine tes intirmes. et rajeunit les vieillards.

A Hirsau, le chevauer met pied terre chez l’abbe, et boit. au son des orgues, le vin frais du couvent; puis, à travers tes forêts de sapins, il s’ctance au gaiop vers la verte vallée, où rEnne coule avec fracas, resserrée dans sonlit de rochers.

A Wildbad, sur ta place du marché, est une maison de helle apparence ou est suspendue comme enseigne une pique etincetante. C’est là que le comte descend de chevat, et prend un bon

1 Votf,surte comteËwerard~ la notedetu paget’4.