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Page:Ulliac - Souvenirs d une vieille femme v1.djvu/11

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DÉDICACE




Je dédie ce livre à la mémoire de mon Père et de ma Mère vénérés ; à la mémoire de mes bien-aimées protectrices, madame la comtesse douairière de Montalivet et madame la baronne de Tascher ; à la mémoire de mon excellent ami Alexandre Duval et à celle des amis qui m’ont précédée dans l’éternité.

Je le dédie aux nobles familles de Montalivet et de Tascher, dont l’affectueuse estime a tant de fois relevé mon courage : je le dédie aux amis fidèles que mes longues infortunes n’ont pu lasser ; je le dédie enfin aux belles et bonnes âmes qui m’ont aimée sans me connaître autrement que par mes écrits.

S. ULLIAC TRÉMADEURE.

Paris, juillet 1861.