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Page:Ulliac - Souvenirs d une vieille femme v1.djvu/69

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la jeunesse, et si profondément enraciné dans l’âme des Bretons.

Le moment des adieux arriva ; nous partîmes comblées des dons de tous ces bons parents, que nous quittions sans espoir de les revoir jamais, et, les yeux baignés de pleurs, nous reprîmes la route de Paris.