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Page:Un été à la campagne, 1868.djvu/110

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LETTRE DIX-SEPTIÈME.


Albertine à Adèle.
Paris, 25 juin 18…

Tu es gentille au possible, mon Adèle ; oui, je suis enchantée de ta lettre ; elle m’a fait passer une bonne heure à B…, au milieu de tes commensaux.

Inutile de te dire que j’attends avec impatience les vers qui ont causé tant de tracas à ton cavalier servant ; je suis curieuse de savoir jusqu’où va l’imagination libertine de M. Lucien et quels sont ses mérites comme poëte.

9.