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UN ÉTÉ
À LA CAMPAGNE
LETTRE PREMIÈRE.
Adèle F… à Albertine B…, sous-maîtresse
au pensionnat V…, à…, près Paris[1].
Paris, 23 avril 18…
Tu vas m’accuser, bonne petite amie, de négligence ou de paresse, et je t’assure que ce sera bien à tort ; si je n’ai pas répondu à ta dernière lettre, ce n’est vraiment pas ma faute : j’ai eu tant d’occupation !
- ↑ Inutile de dire que nous avons dû remplacer par de simples initiales les noms des personnes, qui toutes, ou presque toutes, vivent encore.
1.