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LETTRE VINGT-NEUVIÈME.
Albertine à Adèle.
Paris, 7 août 18…
Oh ! la vilaine lettre qui plisse le front si pur de mon Adèle, et qui me prive, moi, par contre-coup, des détails intimes sur lesquels je comptais ; j’aurais tant voulu suivre, de seconde main, le cours de ton très-savant maître !
N’y pensons plus, au moins quant à présent, car, je l’espère, ceci n’est qu’une fausse alerte.
D’ailleurs, ton oncle n’est pas encore de