Page:Un été à la campagne, 1868.djvu/195

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
186
UN ÉTÉ À LA CAMPAGNE


matin ; tout le monde aurait remarqué mes yeux rouges.

Adieu, ma chère Albertine ; plains-moi, écris-moi, console-moi… Je suis au désespoir.

À toi.
Adèle.