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LETTRE TRENTE-HUITIÈME.


Albertine à Adèle.
Paris, 16 septembre 18…

Il y a urgence, en effet, chère petite, et tu dois, je le comprends, hâter la bénédiction nuptiale de tous tes vœux.

Heureux vicomte ! le voilà, quoi qu’il arrive, assuré de ne pas mourir sans postérité. C’est la seule chose que le mari de Jeanne ait à envier au tien… Ah çà ! pourvu qu’il n’aille pas s’apercevoir qu’on ne lui a rien laissé à faire. Il pourrait se formaliser