Page:Un été à la campagne, 1868.djvu/37

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
28
UN ÉTÉ À LA CAMPAGNE

Toi, chère Albertine, tu te serais risquée, n’est-ce pas ? et peut-être le succès t’aurait-il donné raison ; moi, je n’oserai jamais.

Adieu, et à bientôt, si j’entrevois quelque chose de nouveau. Je t’embrasse comme je t’aime.

Adèle.