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Page:Une institutrice de chez nous - Politesse canadienne, c1910.djvu/99

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Que vos lèvres ne profèrent jamais de paroles amères !… N’ayez aussi que des expressions nobles ; il en est de basses et triviales qui ne sauraient trouver place, dans la conversation des gens bien élevés ; à plus forte raison, sont-elles inconvenantes et déplacées dans la bouche d’une femme.