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Page:Urfé - L’Astrée, Troisième partie, 1631.djvu/13

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L’ A V T H E V R. A la Riaierç de LignonJ E L L B & agreable Riuiere de LlGNOf) ,sur es bords de laquelle ïay pajje fi heureuſement men enfance , la plus tendre partie de ma premiere ieunejfe , quelque payement que ma plume ayt pu te faire, iauoue que ie tefuis cncore grandement rcdeuable ,pour tant de contentemes que ïayreceuÁ lelongdeton riuage , àïom- íre detesarbres fueiUus, & a la ſraifcbeurdetes belles eaux, quand l’imiocence de mon aage me laijſoit iouyr de moy-mefme, &me permettoit de goufier en reposles bon-heurs & les felici-