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Page:Urfé - L’Astrée, Troisième partie, 1631.djvu/17

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si pur & net, quil ne laijsa iamais noìrceur apres la brufleure en pas <une de mes a&ìons >ny de mes dejtrs. Que s’ilfe trouuejurtes bordsquelque arrk’fèdèrt y qui me rcprene d’employer le tethpìÏÏces teunes pcnfees > maintenant que tat à’Hyuers ont depuuneigé dejjus ma tefìe> & que de plus ſolides njiandes deuroient deſormais repatjìre mon eſprity le teſupphe, o mon cher LIGN o N3 refpons luypourma deffece. Que les affaires d’Efìat ne scntendent que difficilementyjtnonpar ceuxqui les mamêt : Ceb les dupubhc sotincertaines > & eeìles des particuliers bien cachees, & qu en toutes la rverite eflodieuſe. Que la Philoſophie ejìefyineufe laTheologie chatouiUeuſe, C> lesſciences traittees par tant de doBes pofonnageSyqueceux quiennojìre Jïccle en rueulent eſcrire courcnt e gradefortune, ou de deſplaire ou detramiUerinutdement }fë)peut ejìredeſe perdreeux-