Page:Urfé - L’Astrée, Troisième partie, 1631.djvu/279

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croyez que je ne feray, pour votre contentement, que ce que je ne pourray pas faire. Et, à ces dernieres paroles, le roy se retira en son logis, me laissant avec tant de desplaisir, qu’il n’est pas croyable qu’un autre que moy peust vivre avec tant de douleurs, d’ennuis et de desespoirs.