Page:Urfé - L’Astrée, Troisième partie, 1631.djvu/817

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comme aussi la genereuse fille, et le fidele serviteur, ne se pouvant lasser, les uns, de luy baiser les mains, les autres de luy embrasser les genoux, et toute l’assemblée avec des cris de joye, et des applaudissemens louer Dieu d’un si heureux succez, et la magnanimité et justice du roy de s’estre sceu vaincre par la grandeur de son courage.