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Page:Vacaresco - Le Rhapsode de la Dàmbovita, Lemerre.djvu/264

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242 Chansons du Cobzar

Reviens vers moi dans les jours de printemps Et prends le chemin où les saules s’embrassent, Pour que nul ne te rencontre, Et viens à l’heure où tout le village est au travail. Viens ainsi que tu serais maintenant, Si tu avais vécu tous les jours que la mort t’a dérobé, Et file une seule quenouille, Et dis-moi : Mère, j’ai rempli ton fuseau.

Dans la cour les bœufs se réunissent, Et les bœufs sont las d’avoir labouré tout le jour. Mon fuseau se repose, il pend jusqu’à mes pieds.

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