l’œuvre musicale à la picturale. Sous prétexte que l’une et l’autre sont œuvres d’ingénieurs, on ne peut pas comparer une installation électrique avec l’étude d’un organe mécanique ; il n’y a pas de classement. Si l’on classe les arts, on est fatalement conduit à cette conséquence que la moindre fabrication du pire musicien l’emporte sur le plus beau travail de Rembrandt. L’absurdité ramène alors à vouloir comparer ce qu’il y a de mieux à ce qu’il y a de mieux, et éclate !
Mais je te renvoie au chapitre sur la Musique dans mon in-octavo sous presse : Kritik der reine Poesie. N. R. F. Leipzig. (France), — page 870 & suiv.
— D’ailleurs tu oublies dans ta classification de mettre en tête la Cuisine, qui n’imite pas plus les choses que la Musique (et même moins).
— Il y a des parfums qui s’appellent le Jardin de mon Curé ! !. Nuit d’Orient… Valses ! !
O Guerlin, — O Schumann !
Nota. C’est en tant qu’Occidentaux que nous n’osons pas mettre Cuisine et Parfums à côté de Musique.
C’est à cause d’une physique bizarre, fausse et entachée de métaphysique, suivant laquelle le son est