se dérober, se développe, lui…glorieusement ?… Face à… l’Univers… Le délire qui éblouit…
— Napoléon ?… Lui, toujours lui…
— Oui. Mais aussi tous les grands individus, poètes, artistes…
— Tous ceux… floculent en chefs-d’œuvres ?
— Oui. Qu’en faites-vous ?
— Je n’ai rien à changer à ce que j’ai dit. Ou presque rien… Ce qui les distingue, peut-être, c’est qu’ils agissent sur la moyenne dont ils s’écartent. La moyenne tend a se déplacer vers eux… Elle en est curieuse. Mais ici, puisque vous faites intervenir les exceptions d’ordre… supérieur, je vais, moi aussi introduire quelque autre chose.
— Vous avez de petits oiseaux dans la manche, ou un bocal de poissons rouges.
— Non. Un souvenir. et qui vient à point.
— Voyez-vous ce petit malin de souvenir qui guettait le moment exact de faire son effet et il ne veut pas rater son entrée.
— L’A-propos est l’intelligence de l’Implexe… Ou, si vous préférez une formule plus… aseptique : l’A—propos est le tropisme de l’Implexe.
— L’honneur est satisfait.
— Ceci revient à dire qu’il semble que ce qu’il faut, dans telle circonstance soit attiré, appelé par la circonstance même.
— Que peut-on demander de plus ?… Ah ! Vous m’en faites voir de toutes les couleurs ?… Et après ?
— Eh bien, je crois qu’il faut envisager, à côté des développements psychiques « morbides » ou crus tels ; — des développements d’une autre espèce, peut-être encore plus rares… D’ailleurs, il n’est pas toujours facile de discriminer…
— J’adore ce mot. Il fait toujours très bien… Discriminons, discriminons…
— On pourrait appeler ceux-ci : des écarts, ou des excursions harmoniques…
— Oh ! là… là… là… là !…
— Si vous croyez qu’il est facile de décrire et de dénommer ces choses-là !…
— Discriminons : ce qui n’existe pas est toujours facile à nommer, mais très