Page:Valade - Œuvres, Poésies, 1887.djvu/355

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Sur l’azur glauque de tes yeux Où baignent des lueurs d’étoiles, Mes rêves déployant leurs voiles Ont cru fendre le bleu des cieux.

Et dans vos prunelles profondes, Beaux yeux perfides où je lis, Mes rêves sont ensevelis Comme le noyé sous les ondes.