Page:Valade - Œuvres, Poésies, 1887.djvu/374

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Et moi, que longuement ronge un regret amer, Habitant sédentaire et vieux d’un port de mer, Je m’en vais, regardant les vagues balancées,

Sur les quais encombrés d’un confus appareil, Parmi les agrès noirs qui fument au soleil, Pour aspirer l’odeur des grandes traversées.