Page:Vallès - L’Insurgé.djvu/190

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Et voilà qu’un nuage glisse sur tes paupières et qu’il y vient des larmes !

Je suis resté deux jours les yeux et le cœur dans les nouvelles de là-bas, écoutant l’écho du canon lointain et les bruits de la rue.

Rien ne bouge !