Page:Vallès - Le Bachelier.djvu/133

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Le soir, quelquefois, quand j’étais seul, je relisais ses vers ; et il me semblait que je trempais mes mains, qui sentaient le tabac, dans une eau vive comme celle qui coulait à travers les prés de Farreyrolles, en faisant trembler l’herbe et les clochettes jaunes !…