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CONCLUSION


J’estime que tous ceux qui, pourvus simplement d’une bonne instruction primaire, auront lu ces deux lettres, en sauront assez, s’ils le veulent, pour se diriger eux-mêmes, en toute connaissance de cause, dans la voie du devoir et de la liberté.

Ils comprendront que, pour devenir un homme de progrès, dans l’ordre moral, il n’est pas indispensable d’étudier pendant de longues années et qu’en somme il est beau-