L’un était l’fils d’un prince,
L’autre était l’fils d’un rẻ.
O vertingué, etc.
L’un était l’fils d’un prince,
L’autre était l’fils d’un ré ;
Le troisième était comte,
Qu’était celui qu’j’aimais.
O vertingué, etc.
Le troisième était comte,
Qu’était celui qu’j’aimais.
Il avait une bague,
Il me la mit au dè.
O vertingué, etc.
Il avait une bague
Il me la mit au dè
En m’disant : Ma mignonne,
J’sis amoureux de tè.
O vertingué, etc.
<poem>
Les garçons d’Ambly,
En revenant de Vêpres,
Se disent l’un à l’autre :
Où irons-nous aux veilles ?
Marchons, la la la la la,
Sur la jolie herbette.
Se disent l’un à l’autre :
Où irons-nous aux veilles ?
Nous s’en irons aux veilles
Là où sont les plus belles.
Marchons, etc.
Nous s’en irons aux veilles
Là où sont les plus belles,
Buquer à la fenêtre.
- ↑ Cette chanson, recucillic à Ambly, a été publiée dans l’ouvrage d’A. Meyrac : Traditions, Coutumes, Légendes et Contes des Ardennes ; Charleville, 1890, in-4º.