C’était la fill’ d’un labouroux. (bis)
On dit qu’ai est tant belle, et ho ! (bis)
On dit qu’ai a tant d’amouroux (bis)
Qu’ai’ ne sait lequel prendre, et ho ! (bis)
On dit que le biau maréchaux (bis)
En a fait la demande, et ho ! (bis)
« Venez nous voir après dîner, (bis)
On ira sur l’herbette, et ho ! » (bis)
Y sont là-bas dans ces verts prés (bis)
Où que’l’herbe al’ est si tendre, et ho ! (bis)
Y s’est assis tôt auprès d’lé, (bis)
Tôt auprès d’sa pochette, et ho ! (bis)
Y a volé son mouchoué d’nez, (bis)
Son mouchoué des dimanches, et ho ! (bis)
« Hé, rendez-moi mon mouchoué d’nez, (bis)
Mon mouchoué des dimanches ! et ho ! (bis)
« Si mon papa y lau savait, (bis)
Y me battrait sans rire ! et ho ! (bis)
« Mais si ma mère al’ lau savait, (bis)
All’ ne ferait qu’d’en rire, et ho ! (bis)
« Si mon frère Jean y lau savait, (bis)
Y t’chercherait querelle, et ho ! (bis)
— La qu’relle qu’i me chercherait (bis)
Serait de boir’ bouteille, et ho ! » (bis)