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XIV
Jeanne Samary.
Une soirée d’estudiantina. — Gracieuse apparition. — Le rire des Brohan. — Une soubrette incomparable. — Dorine et Toinon, mère de famille. — Du Cœur-Volant à Trouville. — La saison fatale. — Un tapissier qui connaît ses classiques. — Jeanne Samary et les raseurs. — La bonbonnière préservatrice. — Le tueur de mouches obstiné.
Voilà vingt-deux ans déjà qu’elle est morte, le 18 septembre 1890. Et, malgré le temps écoulé, je la retrouve dans mon souvenir telle que je l’ai vue un soir, pour la première fois, sans me douter qu’elle me deviendrait par la suite une amie aussi précieuse et aussi chère.
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Ce soir-là, Edmond Tarbé, le directeur du Gaulois, recevait chez lui le Tout-Paris d’alors,