Page:Varenne de Beost - La cuisine des pauvres, 1772.djvu/8

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
iv
AVANT-PROPOS DE L’ÉDITEUR.

périences, je m’y ſerois livré avec ardeur, & j’en offrirois les réſultats à mes Compatriotes ; mais ne pouvant faire plus, je tâche dumoins, en qualité de Traducteur & d’Éditeur, de marquer mon amour & mon attachement pour mon Pays. Je m’eſtimerai très-heureux, ſi les preuves de mon zèle, peuvent mériter l’approbation des États Généraux de la Province, & s’ils jugent mes foibles efforts dignes de concourir au ſuccès de leurs vues pleines de sageſſe, pour l’adouciſſement de la miſère des Peuples, dont ils ont à concilier les beſoins & les intérêts, avec les intérêts

& les beſoins de l’État, qui en ſont inſéparables.

AVIS