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Page:Varez et Mardelle - Frédéric, duc de Nevers, 1810.djvu/3

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DUC DE NEVERS. AG TE PREMIER. Le théâtre représente la principale cour du Pa- lais des ducs de Nevers. A droite de l’acteur* P entrée du palais, à gauche* une grille donnant dans les coiérs extérieures ; au fond le parc» S C EN E PR EMI E RE. SI MPLET,ANSELME, Paysans , Paysannes en habits de fêtes. {Au lever du rideau * \on danse le finale d’un ballets Sim» p le t assis-} les mains posées sur les genoux et le corps pen¬ ché en avant regarde la dtinse avec intérêt. ) s i m r le t j après (a danse. Ç’est ça... bon... ça commence a prendre iSgûre. Quand vous aurez encore répété une douzaine de fois , j’crois que je serai content. les p a y s A n s * riant. Àh ! douze fois i '\t.\tSIMPLET. Certainement, douze fois , et quinze s’il le faut... Dam ! \ écoutez donc , j’suis intéressé à c’qué ça marche bien : j’ai une réputation à garder... T/nez, croyez-moi > pas tant d’pirouettes , du moelleux , là... comme ça , voyez-vous. ( Il fait des gestes. ) Arrondissez vos mouvemens f ^imites mes grâces si vous l’pouvez.\t, ANSELME. Tout cela est bel et bon ; niais es-tu sûr que nous n’per- drons pas notre tems , et que madame la Duchesse viendra à la fête. SIMPLET. Comment si j’en suis sûr ?... sûrement qu’c’est sûr. Voua verrez qu’not’ maîtresse qu’est si bonne, si aimable , qu’aima tant à nous faire plaisir * nous r’fusera d’assister à un diver¬ tissement d’ma façon * et qui s’donnera en son honneur pour