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Page:Varez et Mardelle - Frédéric, duc de Nevers, 1810.djvu/34

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'\t.\t.\t.\tt <34) SCENE XI Y. COUCI, CLOTILDE, EVRARD, Villageois dan* U fend. '\tCLOTILDE, d CoUCt, • , ; Que viens-je d’entendre, Chevalier? Frédéric fut assassiné, qtfel affreux mystère ! Veut-on porter le trouble et 4’effroi dans mon âme ? ou 4 pressé par de\remord , serait-ce î’assas¬ sin lui-même qui vient ici faire l’aveu de son crime ?,.. Mais, Evrard, cette chaumière vous appartient; vous deves con¬ naître celui qui cause ma frayeur 1 ce n’est pas sans votre permission que cet,homme était renfermé... EVRARD. Je l’ignorais absolument, madame ; mais je présume que, pendant que nous étions tous ici , il se sera introduit par la porte du jardin. " CLOTILDE. Vous ne me dites rien , Couci : partages donc mes éllar* mes ; ne devinez-vous pas les motifs qui font mouvoir en ce ]our tant de ressorts cachés ? »\t,\tcouci. Ah ! Clotilde , vous frémiriez si je vous faisais part da mas craintes , de mes soupçons. cl o t 1 LD s» Parlez , mon ami ; vous ne pouvez augmenter l’horreur da ma situation.\t- couci. Eh bien! madame, l’empressement de Raoul a obtenir votre main, l’arrivée an ce jour même de ce pèlerin, Perdre dont il s’est dit chargé de la part de votre époux , quelques ressemblances que j’ai eu le tezns de remarqwer entre ce per¬ sonnage et Thibaut, le valet de Raoul... Ah ! Clotilde , tout jne dit que vous êtes la victime d’un monstre qui a calculé sa fortune sur la mort de votre malheureux époux. ,\tC L O T I L D E. Què dites-vous ? O ciel ! Quoi vous penseries. couci. Mais rassurez-vous, madame; nous connaîtrons bientôt eet affreux mystère... Voici Raoul, contenez-vous devant lui , si vous voulez que je découvre cette trame odieuse. S Ç E N E X V. Les Précédens , RAOUL, SIMPLET , Gardes « RAOUL. Mes recherches ont été inutiles , madame. Nous n’avons trouvé personne ; mais la porte du jardin, laissé ouverte , 1 Gc v e ' gitized by