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Page:Varez et Mardelle - Frédéric, duc de Nevers, 1810.djvu/53

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(53) RAOUL. tout, dé donner les ordres les plus sévères pour que personne né puisse sortir du château , et je rail moi-même... pbxderic, d’une voix forte. Demeure , Raoul. c o v c i, aux gardes. Empêche* qu’il ne sorte. RAOUL.\t, Malheureux prétends-tu î...' FREDERIC. Vil scélérat, le remords n’entrera-t-il pas dans ton âme dépravée t... Eh bien, tremble , je vais te démasquer. ' n à o v l ,dpdr/.\t' Je suis perdu !\tk «CLOTlLDD,d Couci, Quelle voix !... et quel trouble nouveau... c o u c i , /a contenant. î Chut !... laissez-le parler. '\tfrederic, désignant Raoul d Couci. Le voilà celui qui a ordonné votre mort ; c’est son infâme complice qui vient d’armer mon bras... Mais ce n’est pas le •éul crime dont je puisse l’accuser. ( S’adressant d tous. ) A Voyéz eh lui l’assassin de Frédéric, duc de Nevers. C’est au • moment où il combattait les Sarrasins que ce monstre le frappa d’un fer homicide. Voyez... il pâlit... il est effrayé de •es forfaits... Ah i que deviendra-t-il, lorsqu’il saura que Frédéric, échappé à la mort, va venir ici même l’accuser en face, et ordonner son supplice ? x A b V x, effrayé.\t,\t. C’est lui, le voilà, je le réconnais. PREDERI C.\t' Oui, misérable , regarde, il est devant tes yeux. ( iljette •o* déguisettent et court dans les bras de Clotilde.) clotilde. Frédéric ! grand dieu ! ee^ peut-il î mon époux ! couci.\tf Cher Frédéric ! simplet, effrayé. , Ah! mon dieu !\t>\t. RAOUL.\t.\tz Mes yeux ne m’abusent-ils pas T N’est-ce point un rêve de Bon imagination effrayée î Mais f non , c'qgt bien toi... tu tiens pour me punir... eh bien 1 satisfais ta vengeance... Oui, c’est mpi qui t’ai frappé , et c’est l’amour et l’ambition qui dirigèrent le fer dont ma main fut armée.\t.