Page:Variétés Tome VI.djvu/348

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Elle se plaist à nourrir ma langueur ;
Mais ma bouteille, je la baise

Et m’arrose de sa liqueur.

Doy-je cherir cette douce inhumaine,
Ou preferer à ses roses et ses lis
Celle qui tient mes maux ensevelis ?
Ah ! pour toy je laisse Philis.