Au reste, s’ils sont bien évidemment inspirés de mon roman, ces deux récits sont d’une rudesse toute yankee, et tous deux tournent au macabre.
Dans l’état actuel de la législation américaine, je n’aurais pas grand chance d’obtenir une compensation pécuniaire pour cet acte de « piraterie ». Mais, tout comme le maître J. H. Rosny aîné l’a fait pour son roman la Force Mystérieuse, j’ai cru devoir établir ici ma priorité par ce rappel des faits, en tête de cette nouvelle édition de la Grande Panne.
Et je remercie mon bon confrère ès-anticipations Régis Messac, romancier, traducteur et historien de la littérature d’imagination scientifique, qui a eu l’amabilité de me signaler ce plagiat.
P. S. — Un roman intitulé Les Naufragés d’Éros et formant « suite » à La Grande Panne paraîtra prochainement chez un éditeur qui reste encore à trouver.