« cette fois mettre bas les armes, M. Eugène Villedieu en a « fait un. Il a trouvé des souscripteurs pour élever une « statue à Clotilde de Surville »
Le Français (n° du 4 septembre 1875) contient une lettre de M. A. de Latour, en réponse à un article inséré dans le même journal (du 31 août) et dont l’auteur anonyme cherche à jeter le ridicule sur la souscription ouverte dans l’Ardèche. M. A de Latour est parfaitement convaincu que plusieurs poésies de Clotilde de Surville sont authentiques.
Sa lettre a été tirée à part, avec ce titre : Une souscription patriotique
he Messager du Midi et VEcJio de VArdéche, de septembre, contiennent une lettre signée : Marze, P. Gouy et Auguste Martin. C’est une protestation contre les insinuations peu bienveillantes du correspondant anonyme qui a publié dans plusieurs journaux que, en souscrivant pour le monument de Clotilde de Surville, MM. le Préfet et les conseillers généraux « avaient été dupes d’une mystification. »
Cette lettre a été tirée à part et se vend chez les libraires à Aubenas.
M. Léo Joubert répond, par la voie du Moniteur universel, à la lettre de MM. Marze, Gouy et Martin que ce journal a reçue mais qu’il n’a pas insérée. M. Joubert ne veut pas entendre parler d’authenticité pour les poésies de Clotilde.
Le Bas-Vivarais (n° du 28 août 1875) a reproduit textuellement la causerie du docteur Francus.
Ce même journal (n° du 1er septembre) reproduit une lettre anonyme, adressée de Privas àdiversjournaux, entr’au-