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Qu’as-tu fait ? Tu déshonores ton nom. Ah mon fils ! Faudra-t-il que tu rougisses un jour de ton père ? Ce père criminel nous plonge à tous deux le poignard dans le sein.
Mademoiselle de Blezac étonnée, écoutoit, & n’osoit parler ; cependant au mot de père, ah ! Madame, s’écria-t-elle, où est le mien ? Sait-il que je suis avec vous à Paris ? — à Paris ! — Pauvre malheureuse, on t’a trompée, & c’est mon époux. — Oui, mon enfant, ton père fait ta retraite. — Il est ici.
Aussi-tôt elle demande à le voir, d’Alfosse supplie sa femme de lui éviter la rencontre de cet homme respectable, il lui confesse, que quoiqu’il paroisse coupable, il n’est cepandant pas entièrement criminel, & il la prie de ne conduire Mademoiselle