Page:Vasson - Le Cri du néant.djvu/36

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Du malheur rôde autour de toi. Rentre bien vite
Dans ta maison dont l’ombre accueillante t’invite ;
Enferme-toi farouchement jusqu’au matin.

Comme ces ramiers morts que ta main rouge emporte,
Tu tomberas demain sur le seuil de ta porte,
Ô passager d’un soir que guette le Destin !