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PARAVENT


À Mademoiselle Suzanne Devoyod.


Les parfums des jaunes bambous
Montaient lourdement par bouffées
Les oiseaux se balançaient fous
Sur des branches ébouriffées.

Des chinoises fort bien coiffées
Dessinaient, peignaient en trois coups
De longues dames étoffées,
Des arbres d’or et des hiboux,