Page:Vaucaire - Arc-en-ciel, 1885.djvu/31

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Je pense à ma Toute-Puissante
Et bourdonne son nom bien bas,
D’une voix douce et caressante
Au lit qui ne la connaît pas ;

D’entendre parler d’une amie
Qui sur lui n’a jamais trôné,
Ni ne s’est jamais endormie,
Certes, le lit semble étonné…