Page:Vaucaire - Le Panier d’argenterie, 1895.djvu/52

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Toute étoile filante et tout aérolithe
Sont autant de baisers que tu me jettes vite,
Et que je reconnais pour m’être destinés.

Après quoi, je m’étends, je sommeille, tu passes
Dans mon rêve, et je vois tes yeux illuminés
D’avoir pendant la nuit habité les espaces.