Page:Vaucaire - Parcs et Boudoirs.djvu/113

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Dernière offrande.


Tiens, des vers ! parce que je t’aime,
Pour toi rêvés, écrits pour toi.
Aimer, c’est banal à l’extrême,
C’est naïf, c’est n’importe quoi ;

Aimer c’est bien plus vieux qu’Hérode ;
Tant pis, nous ne le dirons pas,
Car le pauvre public est las
Des confidences qu’on lui brode ;