Page:Vaucaire - Parcs et Boudoirs.djvu/45

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Et j’aurai pour ombrage alors, ne vous déplaise,
Ces lourds cheveux séchés à l’iris pénétrant.

La nuit quand le souci de la gloire me prend,
Que je crains de rester indigne de vous-même,
Je cacherai mon front mécontent dans vos bras,
Enlaceurs captivants dont je doute et que j’aime,
Et cela jettera tous mes soucis à bas.