Page:Vaucaire - Parcs et Boudoirs.djvu/78

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Puis les orgues se font entendre
Et donnent l’absolution ;
Le baiser tout à l’heure tendre
Se permet de la passion.

Ton baiser s’appuie à mon âme
Et la secoue à la briser,
Mon baiser devient homme et femme,
Je te possède en ce baiser.

Ô la Procession Céleste
De jolis désirs implorants !
Devinant nos regards errants
Dieu se retire et Satan reste.