Page:Vauvenargues - Œuvres posthumes éd. Gilbert.djvu/352

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336 I N D E X deux ouvrages et critique du so- crainte et Pespérancc leur persua- cond, 20,:. dent tout, A21. IIs' aiment A tout Hisloriens. Faute dans laquelle ils ff'd°’·• (*2:* S°°t mm Fm h "' · wmbem wu., Bm mté, A27. Les hommes médiocres . trouvent psu de choses en eux-me Hosrtns, 85, 236, 268, note, 291, note, P°'·•*‘ gimer YM K¤‘¤¤d9¤ @0868. 63} (,6·;_{,35_¤0;8,(,35,¤0gg, 31,,;, 379,;, A qua Ybomme ressemble lon-squ’;l est de sang·froid, A33. Ceux qui font Homme d’esprit. Ce qui le distingue du md wx wtm Mmmm lg haw d° m*°mm° d° gé°j°• m' sent, A35. Un seul est quelqnefois Homme (portrait de I') sans prlneipes, plus dimcils s gouverner qu’un 30A. De Pbomme pesant, 319. De Fwd P¢¤Pl€. 037- CW! qui ¥8¤¥¢¤l· ' . . Phomme faible, 323. De l’homme de IGS 1'éY0¤‘¤i61‘ 6¤¢1'0P¤‘8¤¤0¤i wr inconséquent, sas. De l'homme lcs droits do Dieu. M2- I1 en est qui ferme, 326. De l’homme petit, 352. ViV¢¤¢ b0¤!'6¤‘K 88118 le ¤8V0ir. U15. , , Tous naissent sinceoes et meurent H°mm° df; {Mme 0 )° gm ,p°m"m" trompeurs, AA8. Uintéret les rend 310. Do1t·nl se meler d écnre? A72. dm at intraitablm M9- ns cuhcm Homme;. Vauvenargues ne compte volontiers leurs qualités dominan- qu’avec eux, xxxv, 3. Ceux que les tes, A52. Quel est le plus grand mal sens dominent ne sont pas sujets que la fortune puisse leur faire, A53. aux passions sérieuses,47. L'homme Quand ils sont médiocres, ils crai- vertueux dépeint par son génie, 83. gnent les grandes places, ibid. Ceux Les hommes se croient obligés aux qui ont le plus de vertu ne peuvent vices de leur profession, 10A. Ils se défendre do respecter les dons de . ne souifrent d’injures que par fai· la fortune, mais ils s'en cachent, blesse, 160. Sur leur inconstance, ibid. Les hommes ne se contentent 350. L’homme est sur la terre un pas des connaissances dont ils ont atome presque invisible, 395. I1 pos- besoin, A61. Quand un homme est sede autant de bonnes qualités que engoué de la raison, on peut dire de mauvaises, 399. Est en disgrace qu’iI n’est pas raisonnable, A62. Ce chez lesphilosophes, A00, note. Peu qui rend les hommes plus socia- d’hommes ontle sentiment des gran- · bles, A66. Ce dont il faut les in- des choses, A02. Ce qui les distin- struire avant tout, ibid. Ils ne sa- gue les uns des autres, A03. Com- _ vent pas estimer en meme temps ment il fautles juger, 106, A0?. Le plusieurs choses, A70. Ils sont ezine- progres de la vérité ne les empeclie mis nés les uns des autres, A90. Il pas de raisonner faux, A08. Ils sont y en a moins de fous qu’on ne croit, naturellement envieux, A13. La rai- A92. Les hommes actifs supportent son appartienta l’homme, ainsi que plus impatiemrnent l’ennui que le la vertu, A1?. lnconséquence des travail , ibid. Ceux qui méprisent lnommes, A18. Ils sont clairvoyants l’homme ne sont pas de grands sur leurs intéréts, A19. Comment ils hommes, A93. Ils désirent qu’on leur en usent dans les alfaires humaines, disc la vérité, tout on n’aimant pas ibid. Ilsse déllent moins de la cou- A Pentendre, 1A,a. Si l’on peut les tume que de leur raison. A20. La gouverner sans les tromP¢1‘. 63,:.